Expositions

 


Fumando. peinture sur bois
Série Quijotes (José Sales Albella)
http://www.josesales.com

FTM 22è saison 2009/2010
La Retirada 70 ans après
ou l'Espagne au coeur

Peintures de José SALES ALBELLA
Dessins et Photos de
Josep et Georges BARTOLI
Panneaux, affiches et archives des
associations Mémoires vivantes
et Mémoire partagée
GRASSE
Palais des Congrès du 10 au 19 /11/09
SAINTE -TULLE
Théâtre Municipal 16 au 24 /11


Des camps français. Photo de G. Bartoli
http://www.gbartoli.com

Un exil espagnol. Photo de G. Bartoli
http://www.gbartoli.com

Campos Dessin de Jorge Bartoli

Puerta. peinture sur bois
Série Quijotes (José Sales Albella)
http://www.josesales.com

Les républicains espagnols
pour témoins
(Ed Tiresias et Asso Mémoire Vivante
)
http://www.editionstiresias.com

Los Olvidados
(Association Mémoires Vivantes)

 

 


Coucher de Lune (Hala Hilmi Hodeib)

FTM - 21è Saison 2008/2009
PALESTINIENS ET ISRAELIENS
DES VOIX(ES) POUR LA PAI
X

EXPOSITIONS DE PHOTOGRAPHIES
Pierres et Soif de Hala Hilmi HODEIB
Jérusalem Dispossessed de Keren Manor et Activestills

18 au 30 novembre 2008-GRASSE
PALAIS DES CONGRES

 


Jerusalem Dispossessed


Métamorphoses (Hala Hilmi Hodeib)


Jerusalem Dispossessed

Sociologue de formation, Hala Hilmi Hodeib débute la photo en 1977 avec des portraits et des scènes de la vie quotidienne en noir et blanc.

Depuis 1988 l'abstrait et la couleur organisent un imaginaire, très proche de la peinture. Inspirée par la Nature, essentiellement l'eau, la pierre et le sel, ses créations de toute beauté, sont aussi des pages de ses carnets de voyage intime.

D'origine palestinienne, H. H. Hodeib vit et travaille à Nice. Elle est membre de l'association culturelle stArt

site web hala-h.com


voir aussi sur http://www.cc-coteauxdazur.fr/culture/l-actu-arts-plastiques/vagues-de-terre/

 



 

Lors de notre travail documentaire sur Jérusalem et ses alentours nous avons été de plus en plus confrontés au côté sombre de la " Cité de Lumière. (…) Dans la ville sainte, il semble que les seuls Dieux sont la sécurité et l'immobilier, la force, la discrimination et l'injustice (…)

Exposition avec des textes de Muna Hamzeh et Mahmoud Darwich, soutenue notamment par le Comité Israélien contre les démolitions de maisons (ICAHD)

Keren Manor, née à Ashkelon, est l'une des fondatrices de Activestills, un collectif de photographes israéliens qui cherchent à éveiller les consciences par la photo.
Elle dirige actuellement l'ONG Active-Vision qui s'occupe d'enfants immigrés menacés d'expulsion.

http://activestill.org et http://icahd.org

 


Oeuvre de Jumana El Husseini
(Mixed Canvas)

20è saison 2007/2008
"Palestine, le Pays à venir"
13 au 22 novembre 2007
Palais des Congrès de Grasse

Télécharger le dossier de presse


"Guerre des billes" Oeuvre de Hani Zurob
(huile sur toile)


Le Camp de Aïda par Ahmad Sarhan, élève de
de l'Ecole Photo-Vidéo du Centre culturel Al Rowwad
(Bethleem) www.imagesforlifeonline.com


Voir la vidéo réalisée par A.Paq et ses élèves
"Checkpoint de Bethléem, 4 heures du mat"
. http://fr.youtube.com/watch?v=V3b0NVBsPDQ&feature=related



UNE EXPOSITION, UN LIVRE
8 au 20 janvier 2007. Palais des Congrès de Grasse

ANA, FRERES D'ARMES 



Une exposition de photos d'archives et un superbe ouvrage réalisés
par le Lycée Lyautey de Casablanca.

Publié aux éditions marocaines "Senso Unico" ce superbe ouvrage, avec une très riche iconographie, relate les sacrifices des combattants marocains pour la liberté de la France au cours des deux guerres mondiales.

Ce remarquable travail de mémoire a été réalisé par les élèves et les enseignants du Lycée Lyautey de la Mission Française de Casablanca. Il nous invite à redécouvrir, l'année même du cinquantième anniversaire de l'Indépendance du Maroc, les forts liens, -souvent oubliés des « grands médias »- qui existent aux plans historique, humain et économique entre Français et Marocains.

 


 

EXPOSITIONS FTM - XIX° saison. 2006/2007

Maroc : l'Art et la Mémoire


 Mahi Binebine - Technique mixte 2006

Inauguration mardi 21 novembre
à 18h30 au Palais des Congrès. GRASSE

Au programme de la soirée d'inauguration le mardi 21 novembre, le vernissage de deux expositions d'artiste plasticiens de renommée internationale : le peintre et romancier Mahi BINEBINE et le sculpteur YAMOU.

Mahi BINEBINE avait déjà exposé à Grasse ses toiles peintes à quatre mains avec l'Espagnol Galanda, en 2000 à l'occasion du 14è Festival TransMéditerranée. Cette exposition fera le tour du monde jusqu'en 2005. L'artiste (ancien prof de maths) connaît Grasse pour y avoir également présenté trois de ses romans (Cannibales, Pollens et Terre d'ombre brûlée édités chez. Fayard et traduits dans une dizaine de langues) et pour y avoir en partie écrit les textes d'un superbe ouvrage sur Marrakech, sa ville natale où il vit depuis 2002 après avoir séjourné une vingtaine d'années à Paris et New York. Ses oeuvres figurent dans la collection permanente du Guggenheim Muséum de New-York. Mahi Binebine est un peintre, un poète. Ses tableaux racontent des histoires, ses histoires peignent des tableaux.

Pour découvrir Mahi Binebine et ses oeuvres www.mahibinebine.com

1                       2 

 1/ Technique mixte 2006 ; 195 X 130   2/ 195 x 130 cm - Sans titre -Année 2005 - Technique mixte, cire et pigments sur bois

Mahi BINEBINE est également auteur et romancier ; au cours de la soirée d'inauguration, il dédicacera ses ouvrages les plus récents :Le Griot de Marrakech(Ed. de l'Aube et Abada 2005) Terre d'ombre brûlée (Fayard, Le Fennec 2004) Pollens (Fayard, Le Fennec 2001, Prix de l'Amitié franco-arabe) Cannibales (Fayard, Le Fennec1999)

YAMOU. Après des études en France de biologie puis de sociologie, YAMOU choisit les Arts Plastiques. Peintre, influencé par Monet, Tapiès, Kacimi, Klee, Rembrand, il se met à la sculpture inspiré à la fois par les N'konde, statuettes du Congo et par le monde végétal.

Ses créations seront alors un lien entre le monde des vivants et celui des ancêtres, entre le réel et le symbolique.
Pour Yamou, adepte d'un "Art univers", la nature nourrit l'art qui la révèle.

« Son oeuvre et dépourvue de tout artifice. C'est la nature elle-même qui est l'artifice suprême »

Yamou a exposé à Paris, Genève, Bruxelles, Cracovie, Bogota, Bucarest, Londres, aux E.U et au Koweït et bien sûr au Maroc

Pour en savoir plus : www.yamou.com

 

         

Horloge biologique
Détail d'un ensemble de 12 pièces, bois, clous et plantes vivantes


EXPOSITION - du 12 au 17 Avril 2006
Palais des Congrès - Grasse 06
Le FTM présente les oeuvres du sculpteur Kaci

Le Vernissage de l'exposition dénommée
« Cheminements » est prévu mercredi 12 avril à 18h30



Les créations en bronze et en terre cuite de Kaci, inspirées des arts grec, étrusque et romain portent aussi la marque des civilisations Maya, Sumer et Egyptienne. Les sculptures de Kaci, terres cuites et bronzes, distillent un incontestable pouvoir de séduction et d'évocation. D'une subtilité délicate de par le modelé des formes et des rendus, de par la paisible et réconfortante douceur de l'argile, elles expriment une tendresse immémoriale et apaisée(Pierre Berthier de l'Institut Français de Naples)Formé à l'Ecole nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris, Kaci a exposé dans de nombreuses institutions et notamment au Parlement Européen de Strasbourg, à l'UNESCO, ainsi qu'à Rome et à Naples. Grand voyageur, Kaci, né à Alger, s'installera et vivra à Paris ; puis il reviendra à ses origines méditerranéennes avec l'Italie où il s'établira pendant deux ans avant de venir s'installer et travailler à Grasse.



Forteresse Terre Cuite


"Nous n'habiterons pas toujours ces terres jaunes, notre délice..." ( Saint-John Perse - Anabase)

La terre est douce à qui plonge loin en sa mémoire, et, comme elle, compte en millénaires.

S'y dénouent les tensions de l'âme. En témoigne à la fissure des yeux et des lèvres, le sourire des passeurs de sagesse que les civilisations laissent derrière elles.

Est-ce ce temps élargi qui, autour des oeuvres de Kaci, fait croître tant l'espace ? Beaucoup d'entre elles sont des apparitions.

Épiphanies de visages qui nous convoquent, par le regard intérieur qu'elles manifestent, à célébrer l'union intime du voyant et de l'invisible.
Bref nous sommes, surgissant et bientôt disparus.
Mais qui consent à cette fugacité peut prendre part à l'éternel.

Ainsi, nés de la terre, ces visages dans la quiétude qu'ils diffusent, dissipent l'effroi des mortels.
La terre les porte en son berceau. Il y a de la tendresse en cet enveloppement.
À la surface, d'infimes animaux courent. Et leur simple présence animée sacre l'alliance des vivants.

"Tant de douceur au coeur de l'homme, se peut-il qu'elle faille à trouver sa mesure ?" interrogeait Saint John Perse en son Anabase.

Cette mesure secrètement perdure.Les oeuvres de Kaci nous en donnent la lumineuse assurance.

 

Transformation Terre Cuite    

   L'inquisiteur. Terre cuite et bronze

Les sculptures de Kaci, terres cuites et bronzes, distillent un incontestable pouvoir de séduction et d'évocation.
D'une subtilité délicate de par le modelé des formes et des rendus, de par la paisible et réconfortante douceur de l'argile, elles expriment une tendresse immémoriale et apaisée et s'enracinent dans une longue mémoire qui puise loin dans le passé, qui exhume les influences recouvrées des mondes anciens et qui remonte aujourd'hui jusqu'à nous, hors du temps, à travers les parcours énigmatiques des filiations et des emprunts.

Kaci ne fait point de mystère de ces appartenances. Il les revendique.
Il embrasse un large héritage : étrusque, grec et romain et plus en avant encore dans le temps, il retrouve Sumer et l'Égypte pharaonique.
Mais à bien regarder ces figurines singulières, ne retrouve-t-on pas d'autres appropriations inconscientes, en particulier si l'on fait référence à certaines statuettes en terre cuite de l'art maya ou de Teotihuacàn ?

Elles sont le terreau, l'humus qui nourrissent son cheminement créateur. Elles sont le support concret et réel de sa pratique.

Des profondeurs de civilisations éteintes, Kaci dans un lyrisme dynamique et inquiet, ressuscite les témoignages d'une nouvelle mythologie, peuplée de formes étranges, correspondances symboliques, voies cryptées que surveillent et protègent d'immuables "passeurs".

Ayant établi des lieux d'origine, reconstitué des enchaînements et des liaisons à mi-chemin entre légende et histoire, Kaci nous invite à un voyage intemporel à l'itinéraire imprécis, au fléchage secret et codé.


Ce sont alors des inscriptions inachevées, des graphies escamotées, des griffures, des signes hiéroglyphiques dont la fonction est de nous tenir éveillés dans la promesse du mystère dévoilé.

Pierre Berthier
Directeur de l'Institut Français de Naples


 

EXPOSITIONS - du 8 au 20 Novembre 2005
Palais des Congrès - (Grasse- 06)

Le FTM présente trois expositions représentatives de la richesse,
de la diversité et de la vitalité de la création artistique turque :

  • Les Faïences et céramiques inspirées du patrimoine et de la civilisation turques par
    Mehves Demiren d'Istanbul
  • Les Peintures de Onay Akbas, artiste turc vivant à Paris, faisant partie d'un courant d'art moderne très novateur
  • Les Photographies de Kemal Cengizkan et Dora Günel, des reporters mais aussi des esthètes de la photo Noir et Blanc

Les artistes seront présents lors du vernissage le mardi 8 novembre à 18h30 au Palais des congrès de Grasse Cours Honoré Cresp.

Kemal CENGIZKAN et Dora GüNEL
photographes du réel

L'exposition que nous proposent ces deux photographes turcs de talent est une « monographie de la rue Kalpaçi » à Samatya, un quartier cosmopolite d'Istanbul. La rue est une impasse où vivent en majorité des familles venues de l'Est et du sud-est Anatolien. Ce sont des portraits et des scènes d'une vie quotidienne plutôt difficile qu'ont saisi les photographes à l'occasion d'une étude réalisée par une équipe de sociologues et démographes.

         

Kemal CENGIZKAN est né à Ankara en 1950. Il débute dans la photographie en 1968. Il sera président de l'Association des Artistes Photographes d'Ankara de 1977 à 1986. Il a participé à la création de la « Fondation de la Photographie »

Dora GüNEL est né à Kaman en 1957. Il débute dans la photo en 1978 et rejoint l'Association des Artistes Photographes d'Ankara dont il est membre du bureau de 1982 à 1985. Il a également participé à la création de la « Fondation de la Photographie »(Fotograf Vakfi)Il a enseigné à l'Ecole de photographie d'Istanbul et pris part à plusieurs reportages ; il s'est spécialisé notamment dans la photographie d'enfants notamment avec les bénévoles turcs de la Solidarité et l'ONG Enfants du Monde.

            

Mehves DEMIREN.
Une céramiste passionnée.

Née à Istanbul il y a 46 ans. Après un diplôme de sociologie décroché en 1982 à l'Université de Strasbourg et une année de langue à Londres, elle se forme à l'art de la céramique turque dans l'atelier de Mme Ayfer Karamani.

En 1992 elle fonde son propre atelier à Istanbul où elle travaille actuellement. Mehves Demiren réalise plusieurs objets d'ameublement et de décoration d'intérieur.Son travail s'inspire du patrimoine de la Turquie : les maisons du Bosphore ou d'Anatolie; les motifs et couleurs des tapis et kilims, les arts seljoukide et ottoman. Son travail sur les façades turques est le résultat de 9 années de recherche et de création.
Certaines de ses oeuvres sont au musée de Sandberk Hanim à Istanbul.Outre Istanbul, elle a exposé à Amsterdam, Florence, Bruxelles et Paris où elle a notamment exposé pour les « 700 ans de l'Empire ottoman ».

   (Cadre de miroir)                (Maison du Bosphore)  

                          

            (Triptyque)                                  (Paravent)                     (Motif de faïence Seljoukide)

 

Onay AKBAS.
Le peintre conteur.

Né à Fatsa dans le Nord e la Turquie il y a 41 ans.
De 1980 à 85 il étudie à l'Académie des Beaux Arts d'Istanbul.Il vit et travaille à Paris depuis 1987. Avant de venir à Grasse, il a exposé à la FIAC de Paris.Ses oeuvres ont été exposées en Turquie, en France, en Suisse, en Allemagne et même à Séoul, en Corée du Sud.

  Onay Akbas peint des scènes de genre modernes dans lesquelles on retrouve des personnages de cirque, des marionnettes, des épouvantails, des sortes de centaures, mi-hommes mi-bêtes…Des êtres désarticulés par les épreuves, en captivité, mais résistants. Ses oeuvres sont des compositions de fragments où se mêlent lignes géométriques et plages colorées, le tout animé par des tons vifs. L'aspect bandes dessinées côtoie le style des vitraux et mosaïques.L'artiste est passé du classicisme à l'expressionnisme, du clair obscur à l'intensité de la lumière : « ma peinture est comme moi, elle vit ».

         
« A la pêche » 200x250                            « Génie de la création » 80x80



Portugal, entre Méditerranée et Atlantique

EXPOSITIONS - du 18 nov au 4 déc 2004
Palais des Congrès - (Grasse- 06)

Métamorphose de la matière - Oeuvres (sculpture et gravures) de



César De CARVALHO


Peintre et sculpteur, il est surtout un artiste figuratif et de la matière.
Il réalise ses oeuvres dans un alliage original de plomb, d'étain et d'antimoine.
C'est dans une imprimerie, où il travaille comme ouvrier linotypiste, que César de Carvalho découvre
les atouts du plomb. Sa 1ère base de travail c'est alors une esquisse sur une planche de bois.
Il découvre ensuite la sculpture à travers des matériaux de récupération :
l'argile, le plâtre, le carton, le polystyrène, le cuir et d'autres matériaux Parce qu'il refuse les guerres coloniales,
César de Carvalho fuit la dictature salazariste en 1969 et se réfugie en France où il vit toujours.

Mémoires d'Avril

25 textes sur 25 photos du 25 avril 1974

Eduardo GAGEIRO

Un photographe reporter mondialement connu et récompensé par de nombreux prix

                            

                                                         

 

Christian GONÇALVES


" Je peins des photos, des clichés d 'instants, des images de mon errance.
Les lieux sont des "décors" de nos existences, qu 'ils soient champs, gares ou hôtels.
Ils sont la réalité que je photographie, cadre, m 'approprie comme sujet de peinture.

Je peins sur de l 'aluminium, support privilégié de mon obsession plastique pour
la lumière, sur cet écran de lumière, j'inscris le sujet, d 'abord le squelette :noir et blanc,
puis les couleurs, l 'image s 'affirme, se précise au fil des couches jusqu 'à saturation complète
du support, jusqu 'à l 'étouffement de la lumière.


                                          

Commence alors le processus de détérioration de l 'image, je ponce, je gratte, j 'use la matière
jusqu 'à ce qu 'elle libère la lumière qui se plaque aux fenêtres, glisse sur la rambarde, perce les nuages,
dissout les immeubles ; je la poursuis, tente de la contrôler, de l 'arrêter avant qu 'elle ne dévore toute l 'image.
Parfois j 'y arrive"

Christian Gonçalves a 30 ans. Il vit à Marseille. Nouveau venu dans les arts plastiques,
il a exposé l 'an dernier à Marseille, Avignon et Sainte - Tulle.
Il prépare pour 2005 2 expositions personnelles à la Galerie du Tableau et au Théâtre Toursky à Marseille.